Violences envers les femmes

Femmes violées, vitriolées, femmes brûlées, persécutées...

Femmes lapidées, décapitées, femmes étranglées, égorgées...

Femmes affamées, assoiffées, femmes éprouvées, épuisées...

Femmes isolées, rabaissées, femmes cachées, violentées...

Femmes maltraitées, ignorées, femmes privées, « suicidées »...

Femmes déchirées, mutilées, femmes cousues, femmes excisées...

Femmes enterrées, femmes emmurées, femmes abusées, humiliées...

Femmes lacérées, éventrées, femmes accusées, dépossédées...

Femmes asservies, salies, femmes injuriées, rabaissées...

Femmes séquestrées, accaparées, femmes oubliées, abandonnées...

Femmes brimées, esclavagées, femmes dénudées, partagées...

Femmes rebellées, tombées, femmes explosées, endoctrinées...

Femmes déchues, pendues, femmes massacrées, empalées...

Femmes soumises, promises, femmes battues, vendues...

Autant de qualificatifs, non exhaustifs, de sorts réservés aux femmes, ici ou ailleurs. Nul besoin de remonter le temps et sa barbarie, il s'agit bien de notre époque. Qu'elles émanent d'une culture, d'un rite, d'une religion, d'une guerre ou de tout autre « argument », ces violences (envers les femmes) sont intolérables.

Mais, si depuis la nuit des temps, le potentiel féminin effraye les bourreaux au point de leur en inspirer les pires abominations pour tenter d'en éradiquer l'évolution, quel est-il ?

Qu'importe. On pourrait répondre aux gynophobes au même titre que Morgan Freeman dans sa célèbre citation : "Je déteste le mot « homophobie ». Ce n'est pas une phobie, vous n'avez pas peur, vous êtes juste des connards."

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